Une semaine plus tard ... [ Jason ]

Les rues était calme. La pluie ou le vent, en était sûrement la cause. Seule dans cette ville, régnait une esprit errante, elle marchait parmi ceux qui, depuis des années restent bien silencieux, peut être même un peu trop. Elle marchait, pensant à des choses et d’autres, était-elle en ce moment même possédait ? Sa pour le savoir il suffisait juste, de rencontrer cette personne, personne qu’elle évitait depuis un certain temps. Elle pensait que si elle la voyait, celle-ci allait lui faire un reproche concernant l’agression de Jason. Cette agression avait fit le tour de la ville, et des journaux. C’est ainsi que Avril avait appris où il résidait, un Orphelinat. Qui aurait put imaginer qu’un si beau petit bout provenait d’un orphelinat. Certes quand ils c’étaient vus, l’enfant était seul, avec son doudou, mais, il avait put s’égarait un instant et sa mère avait put le perdre de vu trente secondes, mais, non, c’était pas son cas. Aujourd’hui, c’était normalement le bon jour, depuis plus d’une semaine, Avril hésitait à retourner le voir, elle ne savait pas quoi lui dire, ni comment, et elle se ressassait tellement les dernières paroles qu’il lui avait dites, pour la jeune fille elles étaient … Douloureuse.

Elle arriva devant le bâtiment plusieurs fois déjà auparavant elle était passer devant mais, jamais, elle ni avait prêter une quelconque attention, elle était juste passait en marchant, quoi de plus normal pour un esprit errant non ? Toujours les mains dans les poches de sa veste noir, elle resta fixée sur le seuil de l’orphelinat. Mais, là, aujourd’hui, elle devait vraiment y aller, reculait ne servait à rien, c’était vraiment inutile plus elle hésitait comme ça, moins elle pourrait y aller. Hors là, elle le devait. Elle fit un pas dépassant le portail. Un deuxième, lui retenant le souffle, qui depuis bientôt un an ne produisait plus d’air dans ces poumons. Ainsi de suite elle y parvint ne restait plus qu’à parvenir à retrouver le petit enfant dans cet endroit.

Quand elle entra, elle crut bien que elle ne se trouvait pas au bonne endroit, l’orphelinat, l’endroit qu’elle avait imaginer en tout cas n’était pas du tout comme ça. Elle avait penser trouver, un bâtiment sombre, ou tout était à peu près calme, une directrice un peu monstrueuse et sadique, enfin le portrait du pire orphelinat à mon avis. Hors là, en dépassant simplement la porte, elle tomba sur une foule d’enfant courant par-ci, par-là, jouant entre eux, rigolant, en moyenne il était tous petit, sûrement que eux pouvaient voir la jeune fille. Elle continua son chemin, évitant même si ça n’avait aucun intérêt d’éviter chaque enfant. Elle arriva dans une cour, naturellement, la pluie faisait qu’il n’y avait personne, mais, une fois de plus elle était impressionnante, grande, remplie d’une multitude de jouet et d’autre ustensiles pour les personnes de toutes ages enfant ou ado. Une voix attira son attention, derrière elle, se trouvait une femme, la trentaine, cheveux marron, elle accompagnée un enfant dans sa chambre, elle avait vraiment l’instinct maternelle, sa simple façon de lui parler et de le faire rire le montrait, ma ce qui attira plus chez elle, Avril la suivit un instant, totalement en admiration devant elle. En y repensant, elle ne contremaître jamais cela, jamais elle n’aura d’enfant, la mort fait lui fait louper pas mal de choses.

Elle s’arrêta secoua la tête, et se remit dans sa quête, elle n’était pas là pour observer, elle était là pour agir, simplement agir. Elle devait trouver le petit Jason et tout lui expliquer. Cette fois le doudou ne serait plus d’intermédiaire entre eux, elle avait un moyen plus simple, un enfant devait bien avoir un crayon et une feuille, ou un jouet qui pourrait leurs êtres utile tout de même non.
Chaque chambre avait un prénom, Anna, Sofia, James, Lucas, Lindsay, Jason, Guillaume, Camille, STOP ! Elle revint en arrière, repassant devant Camille, Guillaume et arriva devant celle qui depuis un bout de temps la faisait flipper, elle appréhendait cette rencontre, comme on appréhende une rentrée dans un nouveau établissement mais, bon elle avait pas le choix, elle relus avant d’entrée la petit porte décoré de dessin « Jason « , Il était là, derrière cette porte, comment allait-il depuis la dernière fois ? Avait-il été gravement blesser ? Une tonne de question brouillait son esprit, mais, elle ne préféra pas se faire peur à elle-même, et entra directement avant de s’imaginer le pire.

Quand elle rentra, instinctivement ces yeux c’était fermer comme si elle avait peur de la surprise qui se trouvait en face d’elle, seulement là c’était pas,comme si, c’était vrai qu’elle avait peur, pour une fois elle le reconnue. Elle se frotta les yeux, et posant ces yeux à terre, elle n’osa levait le bout de son nez. La chambre où elle se trouvait, devait être une pure chambre de garçon, enfin de petit garçon, ou bien vu l’endroit ou on se trouvait en ce moment même, l’endroit était simpliste, un lit, une armoire, un bureau, une chaise, tout ce qu’elle savait c’était que Jason était ici, elle le sentait, mais, elle aurait aimer savoir, ressentir au moins, si il était en pleine forme ou non avant de lever sa tête, juste l’entendre parler, rire, s’amuser. Elle était là, lui aussi; elle avait oser venir, il ne fallait pas qu’elle se défile maintenant, non pas maintenant qu’elle était dans cette chambre, la chambre même ou résidait la personne qu’elle voulait voir le plus, Jason jeune orphelin, charmant petit garçon, auquel elle devait faire une tonne d’excuses, qu’elle avait en tête depuis … Une semaine. Un léger courant d'air parcourra la chambre de long en large, montrant de nouveau sa présence, le garçon grâce à cela saurait, du moins elle le pensait, qu'elle était là.

Invité

Ce matin, Jason s'était levé une fois de plus avec un grand sourire. Depuis une semaine de cela, chaque matin, il était réveille par une dame qui prenait soin de lui. Oui parce que depuis une semaine, depuis son accident avec le fantôme en fait, il avait des visites d'un médecin. Non non pas d'inquiétude, c'est rien de bien grave. Juste ce jour là il s'est cogné la tête sur le goudron de la route et depuis, les femmes qui s'occupent de l'orphelinat sont persuadés qu'il souffre le martyr. Jason sait que ses trois points à la tête ne lui font pas mal du tout, mais ça lui fait plaisir qu'une femme prenne soin de lui. Donc comme je le disait, il s'est levé de bonne humeur, réveillé comme chaque jour par Céline, une femme de l'orphelinat. Céline est très gentille avec Jason, elle prend soin de lui, joue avec lui et le fait rire. Et en retour, Jason lui rend bien car elle lui a un jour dit que son plus grand bonheur était de le voir sourire. Ce qu'il fait chaque fois qu'elle est en sa présence.

Donc voila, il est 10h00, et il est en train de déjeuner avec ses amis. Quelle journée nulle encore aujourd'hui, il est de bonne humeur et il pleut ! Pfff c'est même pas drôle ! Qu'est ce qu'il va bien pouvoir faire encore ? Bah il trouvera bien une occupation après tout... Voila, finit de manger il prit son feutre et son ardoise et il remonta dans sa chambre. Il adore passé des heures à écrire, effacer, ré-écrire, ré-effacer, et dessiner, effacer a nouveau, etc... Il adore son ardoise ! Bref, il était en train d'écrire son prénom sur cette ardoise, quand la porte s'ouvrit. Pensant que c'était Céline à nouveau, il leva la tête avec un grand sourire... mais non ! Il se leva de son lit pour aller refermer la porte qui s'était ouverte toute seule. Un courant d'air lui parcourut le dos, ro la la c'est plein de courant d'air dans cet orphelinat. Sa fait ouvrir les portes tellement qu'il y en a. Il retourna s'assoir sur son lit et reprit son ardoise pour finir d'écrire son nom. Ben ouais à 6 ans c'est le moment où on s'entraîne a écrire hein... Bref il venait de finir d'écrire son nom. Où plutôt d'écrire quelque chose qui ressemblait à son nom. En vérité, il avait écrit : J - A - S - O - M. Oui avec un "m", c'est une faute de petit enfant, mais il ne l'a pas vu. Avec un grand sourire il posa l'ardoise sur son oreiller, persuadé que c'est bien écrit tout comme il faut.

Puis il se leva a nouveau et alla vers la fenêtre de sa chambre. Il s'assit sur une chaise et contempla les gouttes d'eau aller du haut de la fenêtre et descendre jusqu'en bas. Certaines allant plus vite que d'autres, et d'autre s'arrêtant au milieu de la fenêtre. Bref, il s'amusait même avec la pluie, il avait beaucoup d'imagination et il savait s'en servir. Il s'amusait avec un rien et c'était bien parce que du coup, pluie ou pas, il savait s'amuser. Bref le voila qu'il faisait des paris tout seul sur telle ou telle goutes d'eau qui arrivera en bas en première. Bref, c'était vraiment un jeu de petit enfant de 6 ans. Puis bon, on peut pas lui en vouloir, même s'il s'amuse avec l'eau, il pleut. Et tout le monde sait que quand un temps est "pourri", les enfants ne s'amusent pas... ! C'est bien connu après tout.

Bref, le voila qu'il s'amusait a présent à compter les gouttes d'eau. Il finit par se lasser et aller dans le couloir voir ce que faisait ses amis. Apparemment ils s'amusaient tous les uns avec les autres. Jason voulait pas gêner ses amis et finit par retourner dans sa chambre. Bizarrement en rentrant il vu de suite que quelque chose avait changer. Quoi ? Il savait pas trop en fait... mais c'était sur a 103% que quelque chose était différent. Il fit le tour de la chambre mais ne remarqua rien de spécial, il pleuvait toujours, son ardoise était toujours posée sur le lit, la chaise était toujours posée devant la fenêtre. Bon ben ça doit être lui qui est fatigué alors... Bref, il alla s'assoir sur son lit et soupira d'ennui... Il pris sa peluche, la grosse peluche grise en forme de lapin qui le suivait partout, et la serra contre lui. Puis il finit par la regarder dans les yeux et lui dire tout simplement

A ton avis, qu'est ce qu'on pourrait faire tout les deux ?

La jeune fille releva enfin la tête, elle venait de l'entendre bouger, et puis, la curiosité la rattraper tout le temps. Elle avait imaginer tellement de scène à ce qui aurait put se passer à l'instant même où elle lèverait la tête. Elle avait imaginer le petit Jason, avec un plâtre, des bleus, des écorchures et ce qu'elle découvrit en face d'elle était tellement ... Stupéfiant pour elle, que elle ne trouva rien à en dire. Avril était toujours au même endroit, elle observait le jeune homme. Il paraissait aller ... Bien, du moins par rapport à ce qu'elle avait imaginer il allait même au delà du bien. Il était en train d'écrire son propre nom, comme tout les petits enfant qui commencent à écrire pour le moment. Elle marcha lentement dans sa chambre, observant tout les petits détails de celle-ci, puis, elle se positionna aux côtés de Jason. Une erreur d'écriture la fit sourire, pourtant le jeune homme ne sembla pas la remarquer, surement que pour lui le mot était parfait pourtant son prénom était bien Jason et non pas, Jasom. Elle ni prêta pas attention cependant plus que ça. C'était juste une erreur sans importance, qui ne fait aucune erreur d'orthographe dans sa vie ? Personne ... A par peut être le plus célèbre physicien nommer: Albert Einstein. C'est à prouver.

Puis, il se leva et se dirigea vers la fenêtre de sa chambre, ainsi que dans le couloir. Avril en profita pour changer la petite erreur d'écriture un signe de sa présence qu'il ne semblait toujours pas avoir remarquer. Elle se releva à son tour en s'approchant de la fenêtre. Le temps avait bien changer, le ciel bleu, le grand soleil et la chaleur, avait laisser place à l'orage, le vent et le froid. C'était désagréable, c'est vrai de toute manière Avril est morte, qu'il pleuve ou qu'il fasse beau, ça ne l'embête pas, pourtant voir le soleil se levait, c'est toujours appréciable. Elle resta un long moment au bord de cette fenêtre, elle observait les rues désertes où la pluie fouetter le sol sans cesse depuis ... Environ deux jours. Les arbres commençaient à faiblir et des branches entière étaient tomber à terre déjà, vraiment un temps de * cinq lettres * qui ne devraient en plus pas s'améliorer.

Elle laissa tomber la météo pour revenir à son but précis. Jason. Elle était venue ici que pour lui et c'est tout. L'enfant était de retour sur son lit, il venait de prendre sa peluche lapin, il semblait y être très attaché. Il lui demanda ensuite ce qu'ils pouvaient faire et ça, Avril avait la réponse. Elle saisie la craie de l'ardoise et effaça tout ce qui était noter pour y inscrire.

- Parlons ?

Parler, ça semblait être mieux que de rester la clouer dans cette chambre à regarder un petit garçon ne rien faire non ? En tout cas personnellement elle pensait cela. Elle avait tellement de chose à lui expliquer, pourquoi elle avait changer de caractère comme ça, pourquoi elle lui avait fait du mal, qui elle était vraiment, enfin, sans oublier bien sur que ce n'était qu'un enfant, donc bien sur il ne fallait peut être pas trop lui en dire au risque de l'effrayai ou autre. Elle s'approcha de nouveau vers le rebord du lit juste à côté de Jason et de Lapinou ? En attendant que le petit homme réponde et par une réponse souhaitait énormément pas Avril.

Invité

HS : Arf j'avais rep hier ça a pas enregistrer !! -_-""

Jason, posé sur son lit en fixant les yeux noirs et brillants de sa peluche, n'attendait pas vraiment une réponse à la question qu'il avait posé à l'animal. Voyant qu'il ne bougeait pas, il reposa la peluche sur son oreiller. Après tout il ne fallait pas trop espérer hein ! Certes elle lui avait parler une semaine plus tôt mais bon, c'était un cas différent car il y avait un fantôme avec lui, là il n'y à personne pour animé l'objet... si ? Bref, voila qu'il eut posé sa peluche aux côté de l'ardoise. Il ne le vit pas de suite, mais il y avait quelque chose de différent sur l'ardoise. Mais il ne l'avait pas vu. Il se leva pour aller voir dans le couloir ce que faisait ses amis, deux jouais à la console, et trois autres jouaient a un jeu de société. Il se dit que c'était pas le moment de les déranger et qu'il trouverait surement quelque chose à faire. Sur ce le voila qui retournait dans sa chambre et en rentrant il se jeta sur son lit en rigolant. Il savait s'amuser tout seul c'était ça l'avantage avec le blond. Juste il fallait qu'il ait une idée. Mais une fois qu'il est partit il joue tout seul. Enfin là il était à présent étalé sur son lit, fixant sa peluche droit dans les billes noires qui lui servait d'yeux.

Après un temps où tout semblait s'être arrêter, lui ne bougeait plus, il n'y avait pas de bruit aux alentours, bref le calme plat, il finit par détourner les yeux sur son ardoise. L'ardoise... il y avait quelque chose de changer. Une trace floue lui laissait penser que quelque chose avait été effacé. une barre, sur la dernière lettre. Ce n'était à présent plus un "M" mais un "N", qui avait fait ça ? Jason était pourtant seul dans la chambre ! A moins que Céline ne soit passé pendant qu'il était aller voir ses amis... Ben zut alors il l'a loupé ! Bah pas grave il aura tout le temps de la revoir quand elle repassera. Parce qu'elle venait le voir tout les jours donc bon, c'était obliger qu'elle reviendrais dans la soirée ou même dans un petit moment. Bref, il eut un sourire en voyant qu'a présent son nom était bien écrit, même si ce n'était pas totalement fait par lui...

Puis il se leva et tourna le dos au lit pour aller s'assoir sur la chaise à nouveau et regarder les gouttelettes d'eau. Puis, toujours assis sur la chaise, il se tourna et voulut parler a sa peluche une fois de plus, sauf que quelque chose avait changer à nouveau. Il y avait une autre inscription sur l'ardoise. Par qui s'était écrit cette fois ? Aucune idée en fait... Bref à présent il n'y avait plus son prénom écrit sur l'ardoise, mais un mot. Ou une suggestion plutôt. Ce simple mot était tourné sous forme d'une question. "Parlons ?". Il regarda sa peluche et demanda naïvement si c'était elle qui avait écrit ça. Mais bon c'était logique que c'était pas elle, comment elle aurait fait ?? C'est une peluche. Donc ça veut dire que quelqu'un est dans la chambre mais qu'il ne le voit pas. Tout d'un coup il eut un flash back. Il resta assis sur le lit a fixer l'ardoise, mais c'était pas l'objet qu'il voyait c'était des images de lui, une semaine plus tôt. Le mur, la peluche sur l'autre trottoir, la chaleur de ses larmes, le câlin de la peluche, les gestes qu'elle faisait, la façon dont elle est monté devant ses yeux, son corps se soulevant du sol, les débris s'écrasant à ses pieds, puis sa chute douloureuse sur le sol. Toutes ses images passaient dans sa tête à une allure folle. Ce qui le fit se lever du lit sans quitter l'ardoise des yeux. Il ne savait pas quoi dire, était-ce le retour du fantôme ? Et cette fois, était-il gentils ou méchant ? Enfin "il" ... ou plutôt "elle" s'il avait bien compris...

Tu ... tu es là ?

Oui cela semble idiot comme question, mais en y réfléchissant bien, pas tant que ça. Parce qu'il est persuadé qu'elle est là car les inscriptions de l'ardoise changeaient, mais d'un côté il ne pouvait être sur de rien comme il ne la voyait pas. Il fit le tour de la pièce des yeux, comme si ça allait l'aider a la voir, mais fut contraint de se dire qu'il ne la verra pas a nouveau aujourd'hui. Dommage... Bref, il fixait l'ardoise pour avoir une réponse, et une fois sur qu'elle était là, il s'assit sur la chaise qui était le plus près de lui. Oui parce qu'il avait le choix entre le lit ou la chaise, comme le lit était a présent occupé par le fantôme, il ne restait plus que la chaise. Bien sur il aurait pu aller s'assoir sur le lit, bien sur le fantôme ne prend pas toute la place, mais bon, faut dire qu'il n'est pas trop rassuré le petit blond d'être à nouveau face au fantôme qui lui a fait mal une semaine plus tôt. Par réflexe il mit sa main sur son front, là où il y avait les points, non il n'avait pas mal, mais c'était un réflexe. Puis, la main toujours sur son front, il tenta une nouvelle question, on verra bien s'il répond.

Tu vas pas me faire du mal hein ?

HJ: Arff c'est trop chiant ça, ça me le fait souvent en plus !!

Avril fut surprise que le petit ne voit pas la correction faite sur son ardoise. Elle reste néanmoins sur le lit près de lui et près de la peluche. Quand il revint du couloir, il remarqua enfin mais, serait-il qui avait fait ça ? De toute manière si il le découvrait il ne tarderais pas à le faire remarquer. Malheureusement aussi si il s'en rappeler, le petit aller surtout se souvenir de ces pires moments de cette rencontre, celui où il fut éjecté entre autres. Mais, comment améliorer sa propre image si ce n'est en venant s'expliquer ici. L'imagination de Avril avait prédis vrai, le garçon fut d'un seul coup terroriser, il ne quittait plus l'ardoise de ces petits yeux effrayé, qu'elle question se posait-il ? ou plutôt Qu'elles questions. Des tonnes ou une seule. Une seule fut prononcée par de petit bégaillement. " Tu ... tu es là " C'était sa question, et la pour la millième fois depuis qu'elle avait décider de venir ici Avril hésitait, elle voulait lui répondre mais, il était effrayé lui répondre oui risquer de le faire fuir plus qu'autre chose, elle resta un moment baissant les yeux sur l'ardoise, oui elle était là, non elle ne répondait toujours pas, pourtant la craie était à porter de mains, elle avait juste à faire le geste telle une jeune fille vivante, normale, comme elle l'avait appris, mais, elle hésitait.

En faites ce qui la faisait hésitait, venait plutôt du fait qu'elle an avait marre. Elle en pouvait plus, depuis presque un an sa mère la croyait dans un autre univers, dans un endroit magnifique, le paradis total. Hors depuis un an et surtout trois mois, elle vivait l'enfer total. Elle voulait mourir, mourir une deuxième fois, était-ce possible ? Les adultes eux ... Mentent tout le temps " Tout est possible " se sont bien leurs paroles, à tous, cependant là, la mort de la jeune fille est impossible pour une seconde fois. Comment ne plus faire partie de se monde ? Comment ne plus être posséder ? Comment ... Comment ... Comment ... Quarante mille questions qui trottent dans une petite tête blondinette, quarante mille questions, qui ne peuvent jamais avoir de réponse. Dans cinq jours, ça sera son anniversaire. Elle aurait espérer passer de l'autre côté avant ces cinq jours, pouvoir rejoindre sa famille fêter ces seize ans, rire, être heureuse, s'amuser, être libre, chanter, danser, courir, dormir peut être. Cinq jours où elle allait espérer au maximum réussir ce pas vers l'autre monde. Enfin cela c'était sans se soucier d'un problème et un problème de taille. Et oui, il était toujours là lui. Cet homme son nom et sans visage, tout ce qu'on sait sur lui, et bien c'est que il est remplie de haine envers Melinda en premier et contre un peu tout le monde aussi.

Rappeler-vous, c'était le 21 Février dernier, un enfant à chuter dans l'escalier de son immeuble, pousser par un courant d'air, et le 1 mars, une voiture quitte la chaussée après avoir battu des records de vitesse, ou encore le 6 mars, une femme convulse au milieu d'un centre commerciale, des dates grâce à lui plusieurs sont gravés dans la mémoires de la jeune fille, mais, avec les dates vont aussi les visages de toutes ces pauvres personnes, et en tout ce sont cinquante-trois personne victimes de toutes sortent d'accident, la plupart non mortel heureusement. Mais, malheureusement aussi, des mortels elle en a vut une surtout qui restera toute sa vie gravée dans sa mémoire. De cela, elle en a jamais parler à personne, du moins pas a Melinda qui d'habitude est sa confidente mais, à vrai dire elle n'ose pas le dire, elle a honte, comment ne pas avoir honte ? Faire de telle chose ... C'est simplement plus qu'horrible.

L'enfant s'assit sur la chaise retirant Avril de ces pensées. Il posa de nouveau une question, il savait qu'elle était là. la craie se mit à bouger sur la petite ardoise.

- Je ne veux pas te faire de mal. Je n'ai jamais voulu t'en faire.

Elle remarqua sa main sur son front. Une scène revint dans l'esprit de la jeune fille, elle revit l'enfant saigner de la tête pleurant à chaudes larmes, elle comprit que pour une raison comme pour une autre ... Il cachait ces points de sutures. Surement qu'il avait mal, et cela ne fit qu'agrandir le remord de la belle blonde elle effaça l'ardoise d'un simple petit geste et réécrivis ensuite.

-Pardonne-moi je t'en prie.

Au fond d'elle, c'est vrai elle espérait qu'avec se simple pardon tout son courage revienne, que sa " vie " aille un peu mieux. Elle espérait même que ... Avec un simple pardon la lumière réaparaisse devant elle. Pourquoi pas ? C'était peut être arriver auparavant, peut être pas ici mais, ailleurs sur un autre continent, elle savait pas, elle n'y connaissait rien en matière d'esprit qui cherche à partir, ça faisait longtemps qu'elle l'avait pas autant souhaiter !

» Les rues sont parfois dangereuse ... [ Jason ] =)