Les rues sont parfois dangereuse ... [ Jason ] =)

Avril, telle un fantôme visiter toujours les lieux de Grandview, seulement ces raisons avaient bien changer. Elle ne marchait plus pour ne pas s’ennuyer, elle marchait à la recherche d’une proie. C’est alors qu’elle déboucha dans une rue qu’elle avait parcourue de nombreuse fois mais, dont le nom lui était encore inconnue, mais, cela elle avait toute la vie pour apprendre à le connaître, même toute l’éternité. Il n’y avait pas grand monde, dix personnes tout au plus, elle marcha au milieu de la route et observa chaque personnes, des hommes, des femmes et … Un enfant. Jamais dans sa vie elle n’avait fait de mal à un enfant, au contraire elle les aimait bien même les plus casse-pieds, mais, celui-ci, de son air tout choupinou, de sa bouille merveilleuse, de son sourire surprenant, lui, il n’était pas comme les autres. Il lui rappelait cet enfant qu’elle avait vu avec son père, ce jour-là, le jour de sa mort.
Elle était arriver, chez cet homme ancien Mr Saw, son père, et lorsque le courage lui était venue, elle avait été chez lui mais, elle ne se doutait pas que celui-ci avait refais sa vie, il était heureux, une nouvelle femme, des enfants, une magnifique maison; elle était au milieu de la route quant elle l’avait vu et quand lui avait levait le nez sur lui, il semblait ne pas la reconnaître, c’était son enfant, c’était sa fille, comment un père ne peut reconnaître son enfant ? C’est alors que venant vers lui doucement, la jeune fille avait entendue cette voiture freinée pas assez tôt, et là sa vie avait été finie.
Une triste fin de vie, et surtout un tas de remords, elle s’en était toujours voulue, de ne pas avoir été le voir plus tôt, de ne être sortie de cette route, de tout, tout était sa faute.
Repensait à tout cela, lui fit oublier un instant l’endroit ou elle se trouvait et surtout la position dans lequel, elle était, entre vie et mort.
Son regard néanmoins, observait toujours l’enfant,qui semblait seul. Elle s’approcha de lui doucement, les enfants de bas age pouvait voir les fantômes alors, peut être que lui pouvait aussi la voir qui sait. Elle arriva en face de lui, s’agenouilla et regarda ces yeux. Elle chuchota alors, de sa voix calme.

- Tu lui ressemble tellement …

Tout comme son demi-frère, c’était la première fois qu’elle le voyait, mais, elle pouvait constater tout de même les différences et les point communs apparents de l’un et l’autre.
C’est alors que pris d’un ailant de colère, à force de repenser à ce jour, elle envoya le pauvre enfant à terre, et elle resta accroupi le regardant encore et encore, c’était sa nouvelle petite proie, un enfant tout innocent.

Invité

Mon dieu ce qu'il faisait chaud aujourd'hui ! Cette journée s'annonçait rayonnante et encore ennuyeuse pour le petit Jason. Ben ouais, il a beau vivre dans l'orphelinat avec plein d'autres enfants, il s'ennuie le petit blond hein !! Bref, le voila partit a vagabonder dans les rues sans surveillance. Pourquoi ? Ben à 6 ans on se faufile partout logiquement, surtout Jason avec son esprit malin, et l'orphelinat est une vraie passoire de ce côté là, pas capable de surveiller tout les enfants à la foi, le petit blond s'était fait la malle très rapidement. Pour faire quoi ? Il savait pas encore, mais partir. Fuir cet endroit ou tout est chronométré et ou tu peux pas faire ce que tu veux sans avoir un surveillant derrière toi.

Bref, le voila partit dans les rues de Grandview, sans même savoir où il était a ce moment précis. Dans une rue, pleine de gens, une rue assez grande en fait. Il y avait beaucoup de femmes avec des sacs de courses, surement qu'il y avait un marché non loin d'ici. Il y avait aussi de grands hommes qui ne le regardaient même pas. Bref un petit enfant se sentira toujours petit tant qu'il n'aura pas grandit, c'est sa devise même si ça veut rien dire. Hey il a 6 ans hein a cet âge là on a pas forcément des devises censées hein !! Bref je m'égare un peu là, revenons au bout de chou planté au milieu de cette rue. Il se cala contre un mur en regardant les gens passer. Bref rien de bien spécial.

Jusqu'au moment ou quelque chose à changer. Quoi ? Impossible à dire... L'atmosphère peut être... Mais pourtant les gens ne bougeait pas eux, ils semblaient toujours aussi pressés d'aller on ne sait où. Mais alors pourquoi Jason se sentait bizarre ? Et pourquoi tout seul ? Il se releva de vers se mur ou il s'était bien caler, puis regarda tout autour de lui. Les larmes de peur commençait a monter quand soudain il sentit une brise légère sur son visage. Encore quelque chose qu'il semblait être seul à percevoir. La peur et l'angoisse se faisait sentir chez le petit blond. Mais qu'est ce qu'il se passe bon sang ?

Il cru à la suite de ça, percevoir une voix. Mais a peine audible, impossible de savoir ce qu'elle a dit, et encore moins de savoir si elle lui était adressée. La seule façon de le savoir, c'est de tendre l'oreille pour savoir s'il entend a nouveau quelque chose. Mais rien, pour le moment il n'entendait rien. Sauf peut être... oui sa voix à lui. Il venait de crier car il est tombé à terre. Tombé ? Alors qu'il ne bougeait pas ? Mais bon sang qu'est ce qu'il se passe ici ?? Jason avait les larmes aux yeux cette fois, et il était toujours à terre quand une femme vint le voir.

" Tu vas bien petit ?
_ heu ... moui m'dame...
_ Tu es tout seul ? "

Pas de réponse. Jason regardait cette femme qui voulait apparemment le ramener a ses parents. Ha ! Ses parents... le problème c'est qu'il en a plus de parents le blond, il regarda encore un peu la femme puis tourna la tête vers un groupe de femmes assises sur un banc. Il regarda a nouveau son interlocutrice et soucieux de ré-entende la voix qui l'avait fait trébucher, il ne voulait pas partir.

" Non ma maman elle est là bas ! "

Il montra le groupe de femmes assise sur le banc et après vérification de la gentille femme, elle le releva et s'en alla. Le laissant avec sa maman, qui en fait n'était pas du tout connue de Jason. Bref, le petit ne bougeait plus, il restait le regard vide et l'oreille aux aguets à la recherche de cette voix... D'où provenait-elle ? Lui était-elle adressée ? Que disait-elle ? Pourquoi est-il tombé ? Tant de questions demeurant sans réponses....

Les humains, ils ne savent pas réfléchir. En faite, ce n’est pas qu’ils ne savent pas mais, ils ne font pas attention au nombre de fois ou quelques choses de surnaturelles leur est arrivés. Un frissons les parcours, ce n’est qu’un courant d’air venant de nulle part. Il tombe par terre, c’est parce qu’il sont maladroit. Et bien d’autre exemple encore telle que cela sont à noté seulement ils ne se doutent pas que, si ces choses maladroite leurs arrivent c’est la cause d’un esprit errant qui leurs veut du mal ou à l’inverse qui ne cherche qu’à se montrait, les protégeait, leurs faire un quelconque signe.
Aujourd’hui, la jeune Avril voyait l’innocence d’un petit garçon en face d’elle, elle lui avait parler, mais, lui ne pouvait déjà plus l’entendre à cause de son age, il était d’un blond magnifique et le pauvre garçon, qui était seul, ne se doutait encore pas de la personne étrange qui se trouvait à ces côtés, elle lui voulait du mal c’était certains, cependant, une partie d’elle encore lui disait d’arrêter ça, de revenir vers le bon côté, de se retenir de faire le mal, être simplement comme avant.
La jeune fille tourna autour du petit bout’ toujours par terre, et s’arrêta ensuite devant lui le regardant mieux, observant sa ressemblance frappante avec … Oui. Le jour de sa mort alors que au bout de de plus de huit ans elle s’apprêtait à aller voir son père, elle avait découvert celui-ci avec sa nouvelle famille, une femme, un fils et une fille, c’était une famille unis, magnifique, mais, le rapport avec ce petit garçon c’est que son fils était comme lui, blond, même taille, un doudou ressemblant, aussi mignon, mais, ce n’était pas lui, et puis, elle se revoyait reculer, fuyant cette belle famille, reculant encore et encore jusqu’à arriver au bord de la route et là, elle se revoit entendre un bruit assourdissant et ce réveillait allonger sur le sol, dans un autre monde, son père à ces côtés, elle n’avait pas eu le temps de lui parler. Elle oublia se souvenir, elle le voyait tout les jours dans ces nuits, dans ces moments d’ennuie, elle s’en voulait énormément, elle était morte et c’était sa faute en plus, le pire. Elle détourna les yeux du petit, un corps venait de la traverser, c’était une femme, elle avait vu l’enfant tomber et était venu voir si il allait bien, elle bougea sur le côté et d’un coup fit reculer la jeune femme d’un coup violent dans l’estomac, l’effets ne sembla pas la perturbée puisqu’elle se contenta seulement de se serrer le ventre continuant d’embêter l’enfant, Avril recommença alors plus violemment encore cette fois une grimace se forma sur le visage hideux de la femme et celle-ci partit, ainsi, elle put reprendre enfin son occupation.
Elle venait d’avoir une idée, le petit semblait, comme tout enfant aimer son doudou.

- Pourquoi pas te l’enlever un peu … Il faut devenir grand un jour ...

D’un coup de vent le doudou, un lapin assez gros d’après ce que l’enfant pouvait laisser entrevoir, le doudou partit sur le trottoir d’en face, un enfant accompagné, serait en sécurité pour traverser la route, un enfant seul … lui … avait quand même un petit risque, surtout que la circulation était rapide ici. Elle observa l’enfant tout en rejoignant le doudou un sourire ravit se forma sur son visage. Pourquoi avait-elle changé comme ça ? Que ce passait-il ? Elle si gentille, aimante, aimer. Elle avait trop changer et elle se demandait même, si elle était encore elle-même ou si l’homme qui la possédait était encore là sans qu’elle le sache. Le problème c’est que si il était là , alors elle avait prit en elle ces faits et gestes tous de plus en plus vengeur, le but du jeune homme , crée le mal, le but de la jeune fille partir le plus vite possible dans la lumière. La réponse à sa question IL était toujours vraiment là, en elle.

Invité

[désolé j'avais pas vu que tu avais éditer ton message]

Méchant... méchant... méchant...

Avril continuait de regarder cette enfant pleurnichant et murmurant des mots, enfin pas des mots non, plutôt un mot répétait à tut-tête comme une chanson dont le rythme ne fait qu'empirer, que s'accélérer de plus en plus " méchant". Cela ne sembla pas le désignait mais, plutôt désigner la personne qui lui faisait du mal ... Avril elle-même. Elle laissa l'enfant et revint près du doudou de l'autre côté de la route et observa celui-ci, elle s'imagina elle enfant avec son chien, doudou avec lequel elle avait partager six années de sa vie et que elle avait décider de ne jamais quitter, d'ailleurs elle l'avait encore ce fameux doudou, avant de mourir en tout cas elle l'avait toujours dans sa chambre, pas en vue de tout le monde, mais, il était présent. Elle se rappela que chaque punissions que l'on lui faisait était toujours à faire sans son chien et que cela lui faisait du mal, dans des moments, triste, dangereux, ou autre on a toujours besoin de quelqu'un pour nous soutenir, ce garçon la-bas en face de cette rue, lui n'avait plus personne, il était seul ...

Alors elle décida de ne faire qu'une chose de gentille aujourd'hui, après tout, ce n'est qu'un enfant, enfant de même pas dix ans, si doux, si mignon, lui causer tant de chagrins à cette age là ... C'est horrible. telle une vivante, elle ramena lentement le doudou. Ce n'était plus à ce moment là l'esprit maléfique, qui rappelons le, un mois, peut être même plus car, en tant que fantômes les heures, les jours et les mois passent vite, avait pris possession du corps de la jeune fille, cette fois elle était bien elle-même, elle était bien Avril Saw gentille jeune fille, qui essayait, qui lutait le plus possible pour que un esprit maléfique dont l'identité était bien sur caché cesse de la prendre en possession et lui fasse faire du mal aux gens qui en tout qu'à avant étaient ces amis. Non, c'était elle, marchant avec ce doudou, toute cette haine avait disparu, plus de colère ... plus de mal de tête ... Elle était elle.

Elle arriva près de l'enfant, désormais recroquevillé sur lui et elle déposa près d'elle son doudou. Elle voulue le prendre dans ces bras et le rassurer, mais, son état ne lui permettait pas. Avec la patte du doudou elle caressa alors la joue du petit tendrement, jusqu'à ce que celui-ci le reprenne. Elle se leva doucement cherchant quelqu'un qui pourrait aider l'enfant, elle ne pouvait pas le laisser tout seul et elle se demanda si Melinda serait d'accord pour venir. mais le simple fait de penser à elle, son visage, son sourire, son nom, sa maison, son DON, cela suffit pour ranimer toute la colère qui elle le savait bien causerait des dégâts autour d'elle, le mal de tête la pire chose qu'un mort puisse avoir en tout cas pour elle, elle tomba à terre se saisissant la tête par les deux mains et essayant de respirer le mieux possible, c'était ça la solution, respirer pour mieux se calmer. Elle réussi à se ressaisir et s'écarta à quelque mètre du petit garçon, avant de retomber de nouveau, cet fois sur le dos, son but était de ne pas crier, si elle crier toute sa colère sortirait et là les dégâts serait fait. Seulement là, c'était trop, elle avait le visage de Melinda dans la tête ...

Elle ne voyait que elle ... Elle ... Elle ... Son nom se répétait, encore encore et encore, elle tournait dans tout les sens, elle ne pouvait pas risquer de faire du mal à cet enfant près d'elle, elle devait respirer mais, c'était trop tard, sa bouche commença à s'ouvrir et à la suite un hurlement sortit de celle-ci, elle entendit un craquement, des objets tomber, chaque chose qu'elle voyait se casser ou éjecter, cela lui rappela les nombreux objets casser dans la boutique de Melinda lors de sa première possession. Elle se ressaisi ouvrant doucement les yeux cherchant l'enfant ... Il était toujours ici, au même endroit allait-il bien ? Elle ne pouvait pas le vérifier pour le moment alors, elle resta allonger là, au milieu de la rue avec le bruit énorme qu'elle venait de faire, une personne ne tarderait pas à venir et verrait l'enfant ici. Il devait mourir de peur ... Compréhensible.

Elle se détourna de celui-ci et se remit sur le dos, essayant de plus en plus de se calmer jusqu'à respirer normalement, ne comprenant toujours pas la cause de ces " crises " l'esprit n'était plus en elle, ou du moins c'est ce qu'elle pensait ...

[ HJ: Aucun problème =) ]

Invité

Le petit avait des yeux gros, gonflés et rouges à force de pleurer. Il ne parvenait pas à s'arrêter et ne pensais pas du tout que ce qui allait suivre puis ce un jour arriver. Même dans ses rêves les plus fous tout cela semlerait inimaginable. Il sentit une vague de chaleure lui envahir le corps, comme si l'atmosphère qui l'entourait avait brusquement changée. Avec la peur au ventre, il se força a relever la tête pour voir ce qui avait changer. Peut être que quelqu'un était en train de le regarder et peut être que c'était pour ça qu'il se trouvait mieux. Mais en relevant la tête il fut déçu de ne trouver personne. Personne ? C'est pas le mot en fait... disons pas d'être humain. Car il y avait bien quelqu'un en fait, mais c'était ... sa peluche ! Non non vous n'avez pas mal lu, ou bien peut être que si ... Non !! non en fait vous n'avez pas mal lu. J'ai bien dit "sa peluche". Elle était en train de lui caresser la joue. Incroyable dites vous ? Oui surement. Mais pas pour un garçon de 6 ans. A cet age là on est capable de croire n'importe quoi tant que ça vous réconforte.

Bref, comme je vous le disais, il avait donc sa peluche en train de lui caresser la joue. Puis d'un coup, elle tomba a terre et l'atmosphère changea a nouveau. Cette fois elle était très bizarre. Presque indéfinissable je dirais. Le petit pris sa peluche et la serra fort dans ses bras ne comprenant pas ce qui se passait a nouveau. De peur de la reperdre encore, il ne comptait pas lâcher l'ours de si tôt. Mais, c'était pas ça. Rien ne se passa, il ne tomba pas, il n'entendit pas de voix, et sa peluche était toujours là. Non c'était autre chose. Comme un sentiment de douleur ou de peur. Le petit ne compris pas mais un homme s'approcha de lui. Il avait toujour sles yeux gonflés aforce de pleurer mais il tenta de le cacher à cet homme. Il avait voulut de la compagnie tout à l'heure, mais maintenant qu'il avait retrouvé sa peluche et qu'il sentait que quelqu'un n'allait pas bien, il ne voulait plus partir. Donc il tenta de cacher ses pleures à l'homme. Malheureusement c'était loupé...

Ca va petit ? Pourquoi tu pleures ? Tu as perdu ta maman ?

Alors je vous explique, si un efant est préssé d'être grand et adulte, c'est parce qu'ils en on marre que les adultes les traitent de petits, ou que les gens les regardent de haut. Puis c'est quoi cette manie de toujours se mêler de leur vie hein ? Vous croisez un adulte en train de pleurer vous allez pas le voir pour lui demander ce qu'il y a quand même si ? Où alors c'est que vous avez du temps à perdre ou que vous aimez vous faire jeter. Oui parce que quand les adultes vont mal, au lieu de gentiment demander de les laisser seuls, ils hurlent et demande aux gents méchamment de se "barrer". Le petit blond n'a jamais compris cette expression d'ailleurs. "bars toi" ça veut dire quoi ? faut se faire une croix sur le ventre ? Bref, puis pourquoi toujours demander si un petit qui pleure à perdu sa maman ? Et le papa il compte pas ? Et puis qui vous dit qu'il n'est pas avec sa nourice hein ? Bref tout ça pour dire que c'est un monde injuste et inégal vis à vis des petits et grands. Le petit tourna le dos au grand homme brun en disant

Oui ça va.
Tu es sur ?
Oui monsieur.

L'homme voulut retourner le jeune garçon pour qu'il le regarde mais le petit hurla un "non" catégorique et l'homme regarda tout autour de lui de peur que quelqu'un pense que ce soit un homme mal intensionné. Le garçon resta un moment renfermé sur lui, puis quand l'homme fut partit, Jason se retourna et regarda partout autour de lui. Que chercher exactement ? Un fantôme ça ne se voit pas en fait, il avança d'un pas mais s'arrêta totu de suite. Oui vous connaissez surement l'imagination des petits : "et si je lui marche dessus elle va avoir mal" ; "et si elle est devant moi je lui fonce dedans elle va avoir un trou dans le ventre". Bref il a 6 ans faut le comprendre hein. Il regarda alors tout autour de lui. Se demandant ce qui rendait l'air aussi désagréable et froid. Pourquoi il avait eu chaud avec l'histoire de son nounours et là d'un coup tout allait moins bien ? Il cherchait une solution pour voir ce fantôme, comment faire bon sang ? Enervé contre lui même il serra fort sa peluche puis il eut une idée. Il posa sa peluche au sol, puis il recula de deux pas. Inutile ? Oui certes mais a 6 ans on pense pas a tout hein... Bref, une fois peluche posée, il regarda tout autour de lui, les rues n'étaient pas trop bondée. La plupart des gens étaient sur e trottoir d'en face, là où se situe les boutiques. Du côté de Jason, il n'y avait que bâtisse et immeubles. bref, il n'y avait personne et donc il regarda sa peluche. Puis il dit doucement, mais assez fort quand même pour que le fantôme l'entende.

Prend ma peluche.

Et oui, 6 ans mais pas fou. Le fantôme est invisible oui, mais pas les objets qu'il transporte, où du moins les fait bouger. Oui si il peut pas les prendre avec lui il peut au moins les faire bouger, comme il avait fait pour la faire voler de l'autre côté. Puis le souvenir de la peluche lui caressant le visage lui revint à l'esprit. Il vérifia une nouvelle fois qu'il était seul puis il regarda a ouveau dans les yeux de la peluche comme si c'était à elle qu'il s'adressait.

Tu fera bouger sa tête pour oui ou pour non d'accord ?

Bon ça ressemblait beaucoup à des ordres, mais a cet âge là un ordre est surtout interprêter comme une demande ou quelque chose du genre. Puis au moins il aurait quelqu'un ou quelque chose à qui parler. Mais sa seule craine était que le fantôme soit un méchant et qu'il lui enlève encore une fois sa peluche... !

Avril était toujours au milieu de la route reprenant son souffle, doucement, mais, surement. Elle ne souhaitait pas faire de mal à qui que se soit et c'est pour cette raison qu'elle évita de repenser une fois de plus à Melinda, la source de tout ces problèmes. En faites c'était en pensant à elle qu'elle faisait du mal aux gens qui l'entourait, mais, c'était rarement en le voulant. Je dis bien rarement, parce que depuis, quelques temps, une partie d'elle était sadique, c'est vrai voir les gens qui souffrait ... La faisait rire, la rendait joyeuse. Elle n'en revenait pas elle-même de se dire ça, voir les gens souffrir la rendait heureuse c'est pas n'importe quoi ! Imaginer quelqu'un en train de mourir en face de vous, vous ne rigoler pas quand même ? Ben désormais elle si. Mais, une autre partie d'elle, désirais redevenir comme avant, du moins comme le début de sa mort, elle souhaitait reparler à cette femme qui l'avait aider des le début de sa mort, Melinda, mais, aussi elle voulait reparler à Elle Wade, la dernière fois qu'elle l'avait vu elle allait mal, et Avril n'avait pas put l'aider comme elle le souhaitait.

Avril se releva, doucement, sa tête tournait mais, elle n'y prêta pas attention. Elle était toujours au milieu de la route reculant vers le trottoir inverse de celui du petit auquel faire du mal était devenu limite impossible pour elle sans qu'elle ne le comprenne. Elle le regardait et reculer encore et encore, comme le jour ou elle était morte. La scène se répétait comme le jour de sa mort, cela la fit sourire, il ne manquait plus qu'une chose pour que toute la scène soit là une voiture.Rigolant toute seule, en observant l'enfant, elle remarqua un homme s'approchait de celui-ci, elle ne savait pas si il se connaissait, c'était surement son père. Elle se stoppa nette tout de même, observant la scène. Le garçon montra son dos à l'homme qui lui parlait. Avril se rapprocha doucement d'eux et si l'homme avait de mauvaise attention envers l'enfant ? Celui-ci ne savait pas se défendre il était si petit.

Elle arriva aux côtés de l'homme, et assista à un dialogue, le plus normal qu'il soit. Enfin, l'homme demandait au petit garçon si tout allait bien. Celui-ci répondit que oui. L'homme avança alors sa grosse main, pour retourner l'enfant, et à grande surprise le gamin vociféra un long " non ! " qui fit sursauter la jeune fille. Elle observa les trait de l'homme, il commençait à s'énerver et il allait recommencer à le retourner quand la jeune fille lui donna un gros coup de poing dans le ventre et après hésitation il partit laissant l'enfant une fois de plus " seul ".

Depuis qu'elle lui avait rendu l'enfant n'avait pas quitter sa petite peluche. Pour un enfant de cette age c'était normal, un doudou c'est un meilleur ami surtout à cet age. Même si elle ne le connaissait pas. Elle fut alors surprise que celui-ci, pour commencer lui parle. Oui oui, il semblait vraiment même sans la voir lui parlait. Il lui proposa, à moins que ce ne soit un ordre, de prendre sa peluche. avril fut étonné, elle ne voyait pas pourquoi elle lui prendrait sa peluche. Elle lui avait peut être fait peur et l'enfant voulait peut être lui donnée se présent pour qu'elle parte ? Elle n'y toucha pas, attendant des explications, l'enfant devait avoir des explications plausible derrière la tête tout de même. Et oui. L'enfant en avait, et une bonne en plus. Vraiment intelligente. L'enfant allait lui poser des question et elle, allait y répondre par oui ou non, seulement ... Elle ne pouvait pas lui en poser.

Elle se concentra un maximum sur la peluche et hocha la tête de celle-ci pour affirmer à l'enfant qu'elle était d'accord. La conversation entre les deux jeunes gens pouvait alors commençait et elle s'avérait être marrante, même si ça allait être dur de communiquer. Pour mieux parlait il faudrait plutôt l'aide d'un médium qui viennent dans les parages, mais, pour ça il n'y avait aucune chance, un parce que dans cette rue il n'y avait personne ou presque et de deux parce que les médiums, ne couraient pas les rues. En faite pour le moment, la jeune fille en connaissait que deux. Melinda et Elle. Melinda elle ne pouvait pas la voir, du moins plus depuis qu'elle était habiter. Elle, elle était partie, on ne sait où, et pourquoi, mais, elle était partie c'est tout. Il en existait d'autre c'est sur mais, à Grandview ... Ça serait vraiment étonnant. Elle écouta l'enfant prête pour sa conversation. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas put parler tranquillement, sans mal de tête, sans haine, sans rien, juste se sentiment d'être libre. Alors autant en profiter, cela n'allait peut être pas durer ...

- C'est parti petit homme.

Invité

Est ce que tu m'aime pas ?

T'es une fille ou un garçon ?

Est ce que je rêve ?

Le jeune garçon fixé sa propre peluche, il la regarder en attendant surement un quelconque mouvement de celle-ci, seulement avril attendit plutôt que le jeune garçon lui pose ça première question afin d'y répondre comme il le souhaitait. Voila enfin que la bouche du jeune homme fit sortir de là, la première question. Est-ce qu'elle l'aimait. Bonne question, très bonne même mais, qu'elle réponse ? En faites elle le savait pas, elle avait pas de raison de le détester et pas de raison non plus pour l'aimer. Alors le choix de réponse fut simple. elle se concentra sur la peluche et en la levant à la hauteur des yeux du petit elle la fit hausser les épaules, avant de la faire retomber à terre. Le messages serait surement bien clair. Elle réfléchis de nouveau à la question, de toute manière désormais, depuis sa possession elle voulait voir dans chaque être humain que le mal et c'est pour cela qu'elle faisait elle-même du mal, dur à comprendre, mais, pour elle ça avait été simple et puis, tout le monde même ceux qu'elle ne connait pas, tout le monde la saoulaient, leurs manières, leurs gestes, leurs visages, tout ... Désolé de repenser à cela, elle baissa la tête et revis tout les visages de personnes que depuis, un bout de temps elle avait laisser sur un trottoir ou dans une foret dans un mauvaise état, étonnant ... Elle ne s'en voulait pas. Toutes ces personnes étaient ... Pas vieille non loin de là mais, elle se rendit compte que elle n'avait jamais fait de mal à un enfant de l'age de celui en face d'elle en ce moment et lui faire du mal était au fond d'elle ... Tentant.

Elle attendit un instant qui fut court à vrai dire avant une seconde question. C'était bien une fille mais, le problème c'est que pour lui répondre elle savait pas comment faire t'est une fille oui ou t'est un garçon, si elle répondait oui y avais une chance sur deux pour qu'il la comprenne dans le sens voulu. Elle fit un signe avec la tête de la poupée pour dire oui et en même temps le doigts de celle-ci indiqua le numéro un et puis, elle continua en faisant un non et avec cette fois le signe " deux " là, ça serait au moins plus significatif enfin plus compris. Voila à présent deux choses qu'il savait sur elle, elle ne le détestait pas vraiment et c'était une fille. Mais, lui, ne disait aucune information sur lui, c'est elle voyait que son apparence, son doux visage, elle l'entendait parler, mais, à par ça elle ne connaissait pas son nom, d'où il venait, et d'autres informations intéressante sur lui, elle décida néanmoins d'attendre qu'il ait fini ces questions avant de commencer son interrogatoire, enfin si on peut appeler ça comme ça ...

La dernière question était quand même, intéressante. On se figure souvent que les fantômes sont pas vraiment humain et s'y ont les imagine humains alors ils sont vieux, et à vrai dire si le monde était normal alors oui tout les fantômes devraient être vieux, mais, là, c'était pas le cas de la jeune fille bientôt dis-huit ans, bientôt la majorité, c'était pas vieux. Elle s'imagina à la place de l'enfant, savoir un fantôme à côté d'elle et se connaissant bien elle aurait imaginer un drap blanc, de grand yeux noir et surtout quelque chose qui ne touche pas le sol en poussant de petit gémissement. Elle rigola. Avant de connaître la mort, on ne peut se douter de ce que l'on doit endurer. Mourir en réalité c'est vraiment plus simple, que de vivre. Plus de maison à payer, plus aucune dispute, plus d'école, plus d'embêtement, plus de larmes, plus rien juste une mort. Vivre, c'est comme un livre, on le lit, on découvre chaque pages, on en pleure, on en rit et à la fin c'est fini, page finale. Mais, malheureusement au bout d'un moment, on regrettait sa mort, on voudrait que ce soit un rêve, juste un mauvais rêve et que l'on se réveille, que l'on saute du lit après une bonne nuit de sommeil, que l'on sert ces proches dans nos bras, que l'on aille en cour, que l'on saute, que l'on danse, que l'on bouge simplement, bouger librement, simplement être en vie.

- Ce n'est pas un rêve ...

Zut ! Zut ! Zut ! Zut ! Encore et encore. Qu'est-ce que cette foutue voiture faisait par ici ? Hein ! Elle pouvait pas venir dans l'autre sens, elle pouvait pas ralentir aussi, non mais, à croire que les gens ils en font exprès en plus. Elle venait juste voir son père, pour la première fois depuis des années, de nombreuses années, elle venait voir son père et c'est ce jour là qu'elle avait dut mourir. Trouvait une logique !

Elle se ressaisit. Se calma, enfin un peu. Chaque image de sa propre mort la hanter toujours. L'enfant avait fini de poser ces questions apparemment, alors avec l'aide de son ami la peluche elle dirigea son doigts vers le jeune garçon. S'il la comprenait alors il allait parle de lui. Sinon ben pas grave il faudrait trouver un autre moyen de communiquer.

Invité

Un haussement d'épaules ? C'est tout ? Bon, ça veut surement dire qu'elle sait pas. Enfin elle, ou il, Jason sait pas encore la réponse. Mais bon, on va dire que c'est elle. Juste parce que Jason a surement plus peur d'un homme que d'une femme. Pourquoi ? Il sait pas, mais il est sur de ce qu'il pense en tout cas. Bref, tout ça pour dire que si elle, elle ne sait pas ce qu'elle pense du petit blond, comment il peut savoir quoi dire lui ? C'était dangereux de dire certaines choses à quelqu'un qui ne vous aime pas. Et c'était d'autant plus dangereux de "prendre des gants" pour parler si la personne en face vous aime bien, elle serait vexée de voir que vous vous méfiez d'elle. Bref c'était difficile de parler à quelqu'un dont vous ne connaissez pas son taux d'affection exact... Le reste de la conversation risquait de ne pas être aussi aisée que voulue en fait... La peluche qui vole devant ses yeux pour répondre a ses questions le faisait rire le petit blond, si on lui avait dit une heure avant qu'il allait parler avec sa peluche et que celle ci allait lui répondre, il aurait bien rigoler le petit. Mais maintenant que c'était réel, ça le faisait encore plus rire car lui il savait qu'il n'était pas fou, mais les gens aux alentours allaient surement le prendre pour un jeune garçon complètement à l'ouest... C'était assez marrant d'imaginer leur tête en fait.

Puis Jason regarda sa peluche, attendant une réponse à sa deuxième question. Mais bon, faut dire qu'il avait pas trop réfléchit avant de poser sa question et donc il vit rapidement que la peluche savait pas quoi répondre. Ben ouais elle est capable de parler en gestes, donc elle peut pas dire le mot "fille" ni le mot "garçon" donc il fallut qu'elle dise oui pour l'un, non pour l'autre. A partir de maintenant le petit blond savait qu'il valait mieux poser des questions où la seule réponse possible est soi "non" soit "oui"... Bref, maintenant il savait que c'était une fille. Soulagé ? Ho oui... Mais comme on dit "il faut se méfier de l'eau qui dors". A savoir : se méfier de quelqu'un qui à l'air gentils. Même si c'est une fille... Parce que bon, ça a beau être une fille, il ne sait pas quel âge elle à et il ne sait pas non plus s'il serait plus fort qu'elle, dans le cas ou elle aurait son âge... Bref, il savait quoi maintenant ? Qu'elle ne savait pas si elle l'aimait ou pas, et que c'était une fille. Pour un commencement c'est pas mal non ? Bref, voila la réponse à la dernière question.

Une réponse ? Non pas vraiment en fait. C'était pas une réponse claire du moins... La peluche ne bougea pas pour donner la réponse a cette dernière question. L'air devint plus froid, comme si le fantôme s'énervait a nouveau. Bon sang ce que ça fait bizarre ce changement d'atmosphère a chaque fois. Pour un petit de 6 ans je peux vous assurer que c'est vraiment étrange. Bref, le petit patienta, puis l'air redevint normal comme si le fantôme c'était à nouveau calmer. Les changements d'humeurs d'un fantôme commençait à lui donner le tournis au petit. Il regarda la peluche qui venait a nouveau de bouger. Elle avait le bras tendu vers lui, mais était-ce lui le sujet d'attention ? Il se retourna pour être face à un mur, OK donc la peluche le montre bien lui. Qu'est ce que ça veut dire ? "Et toi ?" surement... ou alors "comme toi" mais là c'était pas possible, lui n'était pas une fille, donc ça ne pouvait pas vouloir dire "je suis une fille comme toi".. Donc c'était la première option. Parler de lui ? Il n'a pas l'habitude de le faire le petit blond. Il n'aime pas parler de sa vie et de la mort de sa mère et son frère. Ou alors ... Voila c'est ça ! Il va dire le strict minimum de sa vie.

Moi je m'appelle Jason. Et je suis grand maintenant j'ai 6 ans !

C'était suffisant non ? Pas besoin de préciser que c'était un garçon quand même ? Ça se voyait non ? Ensuite, c'était quoi ces questions déjà ? Ha oui, si c'était un rêve. Bon ben ça c'était règler non ? Si c'était pas un rêve pour lui, s'en était pas un non plus pour le fantôme. Puis dernière question, est ce que tu m'aimes pas ? Alors ça, c'était une très bonne question. Est ce qu'il l'aimait lui ce fantôme ? En fait, il n'a pas de raisons de le détester, et puis pour le moment ils parlaient bien tout les deux non ? Donc est ce que ça voulait dire qu'il la considérait comme une amie ? Non pas a ce point. Mais que le courant passait bien ? Oui ça oui. Mais était-ce réciproque ? Pourquoi elle savait pas elle ? Pff c'était pas drôle hein !!

Et moi je t'aime bien comme ça !

Il pris ses deux mains et fit un petit écart entre ses deux mains. C'était sa façon à lui de dire qu'il aimait bien le fantôme sans pour autant la considérée comme une amie. Bref il l'aimait un petit peu, donc il fit "un petit peu" d'écart entre ses deux mains. Ouais il a 6 ans hein ! Bref il regarda la peluche pour voir si sa réponse lui convenait puis il s'assit contre le mur sans quitter l'objet des yeux. Il aurait bien aimer savoir à quoi elle ressemblait la fille. Est ce que le drap blanc d'un fantôme est rose quand on est une fille ? Il rigola en imaginant un fantôme rose, ça existait pas ça hein ! Il en avait jamais vu des fantômes roses dans les livres.

Dis ... est ce que les fantômes ils ont un doudou comme moi ?

La jeune fille s'égara un court instant obligeant un passant à traverser rapidement de l'autre côté histoire de ne pas déranger les deux jeunes gens. Pendant un instant pour pouvoir parler convenablement avec le petit bout elle avait voulu, prendre possession de l'homme qui passait, mais, cela demandait de l'énergie et même beaucoup d'énergie ce que Avril ne pourrait supporter trop longtemps. Elle pourrait lui parler quoi cinq voir six minutes et serait épuisée toute une journée. Non ça ne servait à rien, et puis, pour le moment la communication avait l'air de réussir, l'enfant comprenait les réponses de la jeune fille et il avait même l'air de comprendre ces question. Elle est pas belle la vie ? Enfin si on regarde que cet instant là hein ça va de sois ...

Elle regagna tranquillement l'endroit où se trouvait l'enfant, il ne parlait toujours pas pour le moment, peut être que la réponse, que lui avait donner la jeune fantôme l'avait ... Effrayé, c'est un vrai un fantôme qui vous informe qu'il ne sait pas si il vous aime bine ou non à un enfant de si bas age, ça peut faire peur ! Elle attendit néanmoins une phrase de toute manière elle ne pouvait pas parler alors, attendre c'était la meilleure solution. Elle observait ces traits à chaque répons, elle voulait voir si il avait peur, ou si les réponses le réjouissait au contraire, et elle fut contente ? De le voir sourire. Ravit qu'il eu compris sa question, elle remarqua que donner une réponse le gêné, est-ce que le jeune Jason âgé de six ans, comme il venait de lui même confirmait cela, caché quelque chose ? Bien sur un enfant à ces petits secrets par-ci, par-là mais, lui il avait l'air bien gêné.

Sa présentation courte et simple la fit rire, je m'appelle Jason, c'était normal un début comme celui-là mais, le je suis grand j'ai six ans était plutôt ironique. Elle rit d'un rire bruyant en se roulant par terre, si à six ans on était grand alors, ça aurait été géniale. Mais, elle se rappela que tout les enfants en grandissant voulait toujours être grand, même si il était tout petit, qu'ils aient, trois ans, quatre ans, cinq ans, ou autre tout le temps il se considèrent comme des grands ce qui est plutôt marrant. Il ne décida de dire rien d'autre au moins elle, connaissait plus de chose que lui sur Avril. En faite non, si il décidait un jour d'aller vagabondait dans le cimetière accompagner de ces parents, il pourrait découvrir la tombe de la jeune fille. Elle pourrait lui montrer elle même en posant son doudou dessus ou en le dirigeant par des courant d'air ou autre, mais, pour le moment elle se trouvait dans cette rue qu'elle aimait bien et ne voulait pas bouger et puis, elle reverrait l'enfant de toute manière non ? Si bien sur, elle ne pouvait pas ne plus jamais le revoir.

Tout ce passait bien entre les deux jeunes gens, jusqu'au moment où Jason, fit ces geste. Il lui affirma qu'il l'aimait bien et la prit enfin façon de parler rappelons-le le petit bout ne pouvait pas la prendre et lui envoya un bisous. Cela rappela une scène à Avril enfin plusieurs. De son vivant elle aimer bien embrasser sa mère et c'était réciproque. Vu que les deux femmes vivaient seules chez elles, bien elles étaient très proches et des câlins elle s'en était fait, pour se remonter le morale ou juste comme ça. La mère d'Avril se comportait avec elle comme avec un gamin mais, Avril aimait bien ça c'est vrai. Une fois plus le temps du moins l'air changea pour passer du chaud au froid. Avril observait l'enfant voulant se calmer mais, repenser encore, encore et encore à sa mère, à ces images de sa mort, et à tout plein de problème comme Melinda, l'esprit qui la prenait en possession et tout cela en même faisait que la pauvre petite n'en pouvait plus. Imaginait une machine de linge beaucoup trop remplie ben à la fin, la machine ne marche plus, ben là c'était pareille elle an avait de trop dans la t^te elle en pouvait plus, ne tenait plus. Cette fois elle ne pouvait vraiment plus repensait à autre chose, pourtant pour la sécurité de Jason il le fallait.

Maintenant le petit reprenait ces questions, tandis que Avril tentait de ce calmer, tranquillement, là c'était peut être le meilleure moyen non ? Ne pas brusquer les choses y aller lentement, calmement. Pour le moment c'est ce qu'elle essayait. Le doudou du petit, tourna la tête dans le sens affirmatif et négatif. C'est vrai chaque esprit n'avait pas de doudou seulement les enfants, comme auparavant la jeune fille en avait vu sur leurs tombent. Ils étaient si mignon, mais, voir cela faisait tant de chagrins que ça en était horrible. Rien ne faisait qu'elle se calmer, bientôt si elle n'y arrivait pas se ne serait plus elle, Avril Saw, se serait cet esprit malsain qui fait du mal à qui se trouve dans son périmètre. Elle respirait fort, très fort. Fermer les yeux mais, déjà c'était trop tard elle sentait sa présence, c'était inévitable. Elle eu tout juste le temps d'avertir tant bien que mal le jeune Jason, en faisant faire une au doudou une tête horrifié. Mais, à son age est-ce qu'il comprendrait que cela signifiait qu'il devait avoir peur et prendre la fuite ? Elle l'espérait.

Désormais, elle ne se contrôlait de nouveau plus. Cette sensation étrange du non contrôle de sois-même, elle commençait à s'y faire. Mais, elle espérait toujours que ça ne recommence pas bien sur. L'enfant était en face d'elle son doudou, au pieds de l'esprit. Celui-ci baissa la tête et s'agenouilla devant le garçon. Comme à son habitude, il l'empêchait de bouger, sa puissance était vraiment ... Wouah ! Rien à en dire cet esprit faisait tout ce qu'il voulait, fantastique. Même si il ne se servait pas de ces dons pour faire le bien c'était quand même impressionnant. Le doudou se souleva dans les airs pour atteindre la hauteur du petit, et cette fois la communication avait dut être bien comprise ce que l'esprit s'apprêtait à faire était claire et net. Le cou du doudou se tordit petit à petit tournant encore et encore sur lui-même. A la fin il était comme un pendu, ce que voulait lui faire subir l'esprit.

A son tour désormais l'enfant fut transporter en l'air, pas on plus à vingt-mètre hein !! Non, seulement un peu plus que sa taille normal. La choses auquel l'esprit n'avait pas penser c'est que tant que les deux personnes ne se mettaient pas d'accord alors, l'esprit ne pouvait faire aucun mal à l'enfant et tant qu'Avril arriverait à contrôler cela, l'enfant ne risquait rien, mais, combien de temps s'écroulerait avant que l'esprit, n'en fasse qu'à sa tête comme la plupart du temps ? Pour calmer ses nerfs, trois bidons remplie de liquide bizarre explosèrent près du garçon ainsi que plusieurs petit matériaux par-ci par-là.

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Le petit observait attentivement sa peluche, tout ces faits et gestes. Il adorait ce moment étrange et en même temps complètement surréaliste qu'il partageait avec elle. Enfin avec elle ou plutôt avec le fantôme. Oui parce que même si pour lui c'était a la peluche qu'il s'adressait, c'était de toute évidence adressé a la fantôme toutes ces questions et réponses... Bref, voila que l'objet s'est mis a bouger la tête de haut en bas, réponse positive. Puis a nouveau elle bougea la tête de droite à gauche. Réponse négative cette fois. D'accord donc les fantômes avaient des doudous quelque fois mais pas tout le temps. Mouais en fait cette question était pas tellement constructive ça sert pas a grand chose de savoir ça. Bref, c'est pas grave. Maintenant il le sait c'est déjà ça... Puis d'un coup tout changea et ça en devient presque flippant en fait.

La peluche fit un geste bizarre. Une tête bizarre mais Jason ne comprit rien. Il n'avait pas posé de questions encore, pourquoi cette tête bizarre ? Enfin il n'était même pas sur que cette tête veuille dire quelque chose... L'air devint froid, peu à peu glacial. Le fantôme était en colère, vraiment très en colère. Jason recula, un pas, deux pas, trois pas, puis il fut collé au mur. Il regarda partout, mais pour un fantôme c'était impossible de le voir et donc impossible de voir ce qu'il fait, où il est, ce qu'il ressent, etc... Jason fut donc contraint a rester coller à cette paroi rocheuse et froide, mais moins froide que l'air qui régnait a présent autour de lui. Il regardait partout, visage froid et apeuré. Il ne bougeait plus et ne disait plus rien. Jusqu'au moment ou un petit cri, pas trop fort mais puissant s'échappa de sa bouche. Vous connaissez cette sensation de non contrôle ? Quand une partie de votre cerveau veut dire quelque chose, et que l'autre partie veut prendre le temps d'analyser ces mots avant de les laisser partir. Sauf que la seconde partie n'a pas le temps de faire son travail et que le cri ou les mots sortent d'eux même ? Et bien c'est ce qui se passait pour Jason a ce moment précis. Et honnêtement, je peux vous dire qu'il déteste cette sensation....

Pourquoi ce cri ? Et bien parce que sa peluche venait de s'élever dans les airs, alors qu'elle n'avait pas bouger depuis tout à l'heure. Peur de sa peluche ? Pensez vous... Et bien non ! Pas peur de sa peluche, mais peur de ce qu'il se passait avec cette dernière. Elle était en train de perdre la tête. Non ce n'est pas une expression. Les grands disent ça des fois, mais Jason savait que ça ne voulait pas dire la même chose. Cette fois, l'objet était vraiment en train de perdre la tête ! La tête tournait, tournait, et tournait encore sur elle même. Jusqu'au moment où elle atteint son maximum : 360°. De là, elle retomba au sol. Ouff pensez vous ? Et bien une fois de plus NON. Ce n'était pas Ouff du tout. Et loin de là même ! Pourquoi ? Parce que Jason était en train de ... se soulever à son tour !! O_ô Si si je vous assure. Il poussa un cri, cette fois vraiment très aigüe, limite il vous réveillerait un mort ! Oups... espérons qu'il n'ai pas vexé ou frustré le fantôme. D'ailleurs que lui veut-il se fantôme ? Pourquoi Jason reste en l'air ? Bon sang il est compliqué à comprendre hein ! Une fois il est tout gentils, une fois il est méchant.

Lâche moi ! Lâche moi !
Pourquoi tu me lâches pas ?
T'es un méchant pas gentils ne t'aime plus nah !!

Bon ben ouais quand vous êtes énervé et apeuré et triste à la fois ça fait sortir des mots bizarres hein ... Bref, il semblerait que le "je t'aimes plus" à vexé la madame fantôme, parce que des bidons d'on ne sait quoi et toutes sortes d'autres choses volaient sous les pieds de Jason. Il se mit alors à crier vraiment, et comme par hasard les gens n'étaient plus là. Bon sang les adultes sont jamais là quand on a besoin d'eux hein ! Des larmes recommencèrent a couler sur les joues roses pâle u jeune blondinet. Il avait peur et les nerfs lâchaient petit à petit. Il ne savait plus s'il pouvait faire confiance au fantôme présent devant lui maintenant. Pourquoi il fait ça ? Pourquoi ?

Maintenant c'est... c'est ... c'est vrai que tu m'aimes pas... hein... hein ?

Les larmes du petit lui coupaient peu à peu le sens de la parole. Il avait du mal à respirer et ça se ressentait dans ses paroles. Il ne savait pas où regarder, le fantôme transparent était toujours là mais il était impossible au petit de le voir. C'était vraiment un inconvénient horrible pour lui. D'instinct du coup il baissa les yeux sur la peluche, étalée a ses pieds, la tête sur le coté. Tourner ainsi avait surement entassée la mousse dans le ventre et il n'en restait lus assez dans le cou pour qu'elle tienne droite. Ce qui ne fit qu'augmenter les larmes du petit blond.

L'esprit était toujours là, il observait l'enfant, pleurant à chaude larme ... Une fois de plus. Une question effleurait l'esprit d'Avril, comment pouvait-on supportait voir autant de souffrance dans les yeux d'une personne ? Surtout dans ce cas lorsque la souffrance venait d'un enfant. C'était trop horrible. Elle pouvait plus supportait ça, mais, d'un autre côté, là, elle ne pouvait rien faire. Elle n'avait plus d'énergie du moins plus beaucoup. L'esprit souriait, éclatait de rire, comme chaque fois qu'il faisait du mal aux gens, c'était incompréhensible. L'enfant articula quelques mots, effaçait vers la fin, et c'est grâce à ces mots que Avril put réagir à temps. Entendre tant de souffrance dans la voix de celui-ci, la fit réagir vite et plutôt bien sans vouloir la vanter. Elle concentra toute son énergie, tout ce qu'il lui restait, elle devait contrôler son propre corps.

Elle fit un vide dans son esprit. Elle avait auparavant jamais réussi encore cela, pas totalement. Mais, là elle avait une volonté plus déterminé qu'avant. Elle ce concentra gardant dans son esprit toute ces personnes qui avait subit les faits de l'esprit. Petit à petit, elle réussissais à reprendre son corps, elle savait pas vraiment ce qui faisait qu'elle y arrivait, peut être que c'était simplement sa volonté, peu importe elle y arrivait. Elle rouvrit légèrement les yeux, l'enfant pleurait toujours en étant suspendue, mais, il commençait à redescendre un peu, il fallait qu'elle continue pour un peu elle allait y arriver. Elle referma les yeux. Quelques secondes après, elle entendit un bruit assourdissant près d'elle et des cris stridents provenant de plusieurs personnes.

Au moment ou elle se sentit de nouveau elle, ces yeux s'ouvrir près à voir se qui cette fois-ci c'était produit lorsque l'esprit était parti. A son grand étonnement, elle ne vit pas directement l'enfant, où était-il ? Elle se rassura en se disant que après cela il devait être parti, mais, pourtant, il n'avait pas eu le temps d'allait bien loin. Elle observa mieux, la rue était calme, plus personne ne venait par ici. La cause ? Elle était simple, à la place de l'enfant se trouvait un tas de gravas provenant d'une maison abandonnée, et encore une chance. Donc, l'enfant ... Non c'était impossible ! Avril commença à déblayer les gravas mais, c'était impossible l'enfant ne pouvait pas se trouver en dessous. Elle recula allant au milieu de la route, elle observa derrière elle, à droite et au final à gauche. Il était là, il avait était propulser surement ou bien juste déposer, elle ne savait pas mais, il était là. Elle souffla un bon coup. Jamais, oh non jamais, elle n'avait eu aussi peur de sa vie enfin ... de sa mort, pour une personne.

Elle se dirigea vers lui le pauvre n'allait plus jamais vouloir lui parler. Il ne pourrait pas comprendre ce qui lui arrivait, ni savoir en face de qui il se trouvait réellement. Elle s'agenouilla, observa si il avait des blessure. Son doudou n'était pas là. Elle se tourna à l'emplacement, où il se trouvait juste avant l'éboulement et le remarqua, plein de poussière certes mais, au moins il était là. Elle lui ramena le mettant bien dans ces bras et s'allongea par terre. Elle était épuisée, en manque d'énergie, à bout de nerf, pour une fois elle se sentait vraiment ... Morte. Là il n'y avait pas d'autres mots.

La jeune fille, observa la rue parallèle, elle n'était pas loin du magasin d'antiquité. Melinda pourrait surement, venir aider l'enfant et lui expliquait ce qui lui était arrivait. Cette fois-là, Avril savait que elle aurait un peu de temps libre avant que l'esprit ne réapparaisse, le plein d'énergie serait surement long à refaire. Tout comme le sien. En pensant à cette idée elle resta allongée trop fainéante pour bouger, trop épuisée surtout. Pour une fois elle avait put penser à Melinda sans craindre de dire son prénom. Elle venait de trouver un moyen ... Presque simple pour elle de reprendre son corps, le problème qui survenait maintenant était de savoir si ce moyen allait tenir longtemps, mais ça, seul l'avenir allait lui dire.

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Comment supporter de se faire traiter comme ça ? Jason ne comprenait plus rien à tout ce qui se passait autour de lui ! Le fantôme avait l'air gentils, attentionné... et même un peu farceur si on cherchait bien. Mais là c'était tout l'inverse, il était méchant et essayait apparemment de lui jeter des choses dessus. Tout ces objets qui volaient pour atterrir sur le sol autour de lui, ça ne pouvait que lui être destiné. Pourquoi il faisait ça ? Jason avait-il dit quelque chose qu'il ne faut pas ? Il ne comprenait pas, ses larmes salées lui brûlait les joues, il ne voyait plus très bien ce qui se passait autour de lui. Les larmes qui emplissaient ses yeux floutait sa vision, il ne voyait plus qu'un tas de couleurs vacillantes sous l'effet de l'eau dans ses petits yeux bleus. Ses joues furent très colorées aussi, elles passèrent du simple rose pâle, au rose foncé presque rouge, puis au rouge foncé a force de grimace en pleurant. Bref il n'était plus le joli petit blond que tout le monde trouve trop mignon. Non cette fois il était simplement Jason : l'enfant qui pleure. C'est moins bien n'est ce pas ?

Puis il regarda a terre, le sol semblait se rapprocher de lui. Était-ce vrai ou était-ce simplement le fruit de son imagination ? Peut être que c'était simplement le fait de pleurer qui lui donnait la force de redescendre ? Le fantôme lui n'avait peut être plus assez de force pour le soulever... Tellement d'hypothèse. Puis d'un coup il se passa quelque chose de nouveau. Il fut projeté un peu plus loin, a 3 ou 4 mètres environ. Il poussa un cri, de peur en premier lieu. La projection lui laissa le temps d' hurler toute la frayeur qui s'était entassée dans son corps. Puis il poussa un autre cri, mais cette fois de douleur. Ben oui il à 6 ans et il est projeté au sol à plus de 3 mètres de là où il se trouvait, il y a de quoi avoir mal non ? Et sur le goudron par dessus tout, c'est surement le fait qu'il se sois cogné la tête sur le goudron qui fait qu'il à mal. Il n'a pas mal ailleurs, surement quelques bleus sur les bras et les jambes, mais c'est sa tête qui lui fait mal surtout. Il sent une bosse se former, et un léger filament de sang lui coulant sur les cheveux blonds. C'est chaud, ça coule et sa colore ses cheveux en rouge. Il voudrais rentrer à l'orphelinat pour se faire soigner mais il ne veux plus bouger. De peur que ça recommence. C'est un cauchemar, c'est surement un cauchemar il n'y a pas d'autre solution.

Il pleure à nouveau, cette fois plus de peur mais de douleur. Comment on peut être aussi méchant avec lui ? Il n'a rien fait de méchant lui, pourquoi on le puni ainsi ? Tout les enfants qui s'échappe de l'orphelinat sont-ils traités comme ça ? Que se passe t-il bon sang ? Argh, en parlant de sang, sa blessure lui fait mal. Il essai tant bien que mal de levé le bras pour atteindre sa bléssure, mais il à trop mal et laisse retomber son bras sur sa poitrine. Les yeux ouverts mais rempli de larmes, il fixe le ciel bleu, parsemé de nuages blancs et gris. Il ne bouge plus, ile st sur le dos et attend. Attend quoi ? Il ne sait pas vraiment... De l'aide, ou simplement une nouvele manifestation du fantôme. Se peluche lui arrive dans les bras comme la première fois. Mais cette fois il ne bouge pas. Il ne veut plus refaire les même gestes que précédemment de peur que cela recommence. Il se dit qu'il ne doit plus refaire un seul geste identique à ceux qui ont été fait avant. Il ne bouge toujours pas, cligne des yeux tout simpelemnt. Il respire tant bien que mal, tousse une fois ou deux, mais ne bouge pas. Tout se smembres sont engourdis, il fait bouger ses pupilles, pour repéré un signe du fantôme malveillant. Rien ne se passe. Est-il partit ? Veille t-il sur lui comme un traqueur guête sa proie ? Jason ne sait pas, il ne veut pas savoir il ne bouge pas c'est tout.

Il frissonne, le sang qui coule sur sa tempe est chaud, mais pas assez pour le réchauffer. Il hésite à faire un geste, il passe sa main dans la fourrure du lapin en peluche qu'il a dans les mains. C'est une façon de se rassurer, mais il ne doit pas faire ça. La dernière fois qu'il à fait ça, ça lui a valut une rencontre violente avec le goudron. Il arrête aussitôt son geste. On peut lire la peur et la douleur dans ses yeux. Que faire ? Bouger ? Parler ? Et même est-ce que respirer fait partit de ses priorités à présent ? Il hésite, prend une grande inspiration et parle. Tout doucement, à peine audible, mais il sait que si le fantôme est toujours là, il l'entendra parler. Ou plutôt, il l'entendra chuchoter.

Est ce que tu es toujours la ?
J'ai peur... Je peux bouger sans que tu me fasse mal encore ?

C'est pas très encourageant tout ça. Il a mal à la tête, il lève un bras et cette fois le pose vraiment sur sa tête. Il regarde sa main à nouveau, elle est tachée de rouge vif. Il sent une boule se former dans son ventre. Il pousse un cri à nouveau, mais très faible cette fois. Il à mal de partout maintenant, il n'aurait pas du regarder sa main. Maintenant il ne sait plus quoi faire. Il tente de se relever ou du moins de s'assoir, mais sa tête tourne et il ne bouge pas. C'est promis ! C'est promis à partir d'aujourd'hui il ne s'enfuira plus de l'orphelinat ! Jason vous en fait la promesse !! Mais est ce vraiment la raison de sa punition ? Est ce que tout simplement le fantôme ne pouvait pas être un méchant ?

Je te déteste...

A la base c'était une phrase qu'il voulait garder pour lui. Simplement la mettre dans un coin de sa tête. Mais elle est sortit, c'est surement qu'elle devait sortir, que son cerveau ne voulait pas la garder en lui. Jason frissone toujours, peur ou froid ? Surement un peu des deux... Il tourne la tête dans tout les sens afin d'apercevoir ne serait-ce qu'un signe du fantôme. Mais il ne voit rien et sa tête lui fait mal. Il lui faudrait un pensement ou quelque chose du genre. Et même, est ce que ce seait suffisant pour un enfant de 6 ans qui viens de tomber, ou plutot s'écraser au sol... ? Ca, seul un docteur ou quelqu'un de qualifié pourra le dire... !

Comment supportait une fois de plus de voir un visage triste, de voir des larmes coulaient, de paraître comme étant la méchante ? C’était intenable, pourtant Avril devait le supporter. Elle aurait été morte, la tentative de suicide aurait été une bonne solution. Mais, malheureusement, on ne peut mourir qu’une fois dans sa vie misérable vie. C’est vrai que, contrairement à d’autre personne elle n’avait rien subi, c’était pas comme, avoir une maladie grave, être torturé enfin non c’était pas si terrible de ça, pourtant c’était insupportable, comme si dans sa mort elle avait la vie si Imparfaite, de Frida, si horrible, du début jusqu’à sa fin. L’observant, elle remarquait que son visage d’ange, à cause d’elle changeait, du rire au larme , on ne reconnaissait plus le petit Jason. Les larmes emplissaient son doux visage.

Le sang coulait sur sa tête, il lui fallait vraiment une personne vivante, qui lui vienne en aide, l’aide à se lever et à aller à l’hôpital, mais, depuis l’incident … Personne n’osait revenir ici.
Qu’est-ce qu’un fantôme pouvait faire, prendre possession de quelqu’un demandait trop d’énergie, enfin bref pour le moment non rien à faire. Juste le regardait et attendre le moment où enfin, elle pourrait faire quelque chose pour lui. L’enfant prit après un long moment d’hésitation sa douce peluche, Mais, étrangement il la relâcha rapidement, pourquoi faisait-il ça ? C’était son doudou. L’enfant ne faisait rien, est-ce que un autre enfant aurait prit la fuite à cet instant ? Sûrement oui, mais, lui, il ne faisait rien, il ne faisait aucun mouvement, à croire que désormais bouger devenait horrible pour lui. Il frissonnait, le temps devenait plus couvert, le vent était de retour. Le sang continuait de couler ces cheveux n’était plus blond, mais, rouge sang. Prenant une respiration … Hésitante, l’enfant articula quelques phrases à peine audible.

Bien sur qu’elle était là, jamais elle n’aurait laisser cet enfant seul. La dernière phrase lui fit comme … Un coup de poignard dans le cœur. Jason, lui demandait si il pouvait bouger sans qu’elle ne lui fasse du mal, c’était pour cela qu’il n’osait pas bouger. Elle resta un moment à contempler l’enfant. Impressionner par cette demande. Le temps qu’elle réagisse, qu’elle l’observe, son moment d’inattention fut briser par un petit cri, Avril regarda, il avait sans doute mal, rien de plus normal, il devait vraiment partir d’ici, aller voir quelque un ! C’était vraiment la chose urgente. Avril se leva, même si elle ne tenait pas vraiment debout, elle se prit la tête entre ces mains et commença à observait autour d’elle, personne. Elle commença à marcher en vacillant légèrement et entendit de nouveau, juste trois petit mots prononcés par l’enfant. Oui, la phrase était exact. Avril était méchante, mais, elle n’y était pour rien, enfin pas totalement, elle ne savait pas. Elle resta figée de nouveau et revint près de l’enfant. Il ne la voyait pas mais, la santé, elle l’embrassa sur sa petite joue coloré, le va son doudou de sorte à ce qu’il arrive dans son cou.

Elle commença donc à partir marchant de mieux en mieux, jusqu’à arriver dans une rue bondée de monde, l’énergie revint petit à petit, une seul solution lui vint à l’esprit. D’un seul coup, tout les téléphone portable se mirent à sonner, toutes les personnes répondirent et découvrir un appel de secours, celui-ci était compréhensible, malgré la panique de la voix que tout le monde entendait, après cela plusieurs personne commencèrent à aller vérifier les faits, la voix disait-elle la vérité ou non ? Ce qu’il trouvèrent tous les stupéférent totalement. L’enfant ensanglanté était en face d’eux, comme le message le disait. Seulement personne n’osait approcher. Pour le moment.

Avril resta au bout de la rue, satisfaite d’elle-même. Du moins une partie seulement. L’enfant metterais plusieurs jours, ou mois, avant de se remettre de son accident, seulement d’ici là, Avril lui aura prouvait qu’elle n’était pas méchante, bien au contraire. Une sorte de rictus s’afficha sur elle, ces mains retournèrent dans ces poches doucement, et un chuchotement destiné à une personne bien évidente sortit de sa bouche essouffler.

- Alors ça fait quoi de voir une personne s’en tirait ? … Sache que ce n’est pas la dernière.

Elle commença à traverser la rue, repassant devant Jason, un femme s’oocupait de lui, mais, Avril ne put lui adresser un simple au revoir discret, le doudou adressa de sa patte un petit signe et lança à l’enfant un bisous en baissant la tête. Les erreurs pouvaient avec une chance être pardonné. Cela elle allait le savoir lors d’une prochaine rencontre, chez lui ? Dans une autre rue ? Avec Melinda? Ça seul l’avenir nous le dira …

» Une semaine plus tard ... [ Jason ]